[1920] Bonne année 1920 !!!

Algernon tourna la tête vers Eleanor et pris un air surpris.

- voyons, je ne suis pas négligent aux point de ne pas connaitre le nom des personnes venant travailler ici, nous ne sommes pas si nombreux dans ce petit hopital du comté de Cap Cod, je sais bien que vous ne travaillez pas à plein temps ici, que vous êtes une infirmière du Bellevue Hospital, mais ce n'est pas la premiere fois que vous venez ici pour augmenter les effectifs.

il jeta un regard curieux sur la jeune infirmière aux cheuveux blond et au teint pâle qui l'accompagnait puis repris en s'adressant aux deux.

- il est fort probable que vous ne vous souvenez pas de moi, je ne crois pas que vous ayez déjà été affecté au service psychologie, je suis Algernon Threepwood, vous êtes affectées toutes les deux dans l'aile sud ?

Anna ! Vivante !

Le coeur d'Otto se mit à battre très fort. Il avait du mal à croire ce qu'il venait d'entendre. Il avait vu Anna disparaître dans les eaux, il l'avait cherché pendant de nombreuses minutes en vain, et maintenant on lui disait qu'elle était à l'Hopital !

D'un autre côté, Otto n'avait pas abandonné l'espoir de retrouver sa fiancée.

Il ramassa les deux "dents", les enfourna dans sa poche et se dirigea au pas de course vers sa voiture.

"Damen und Herren, je me rends à l'hôpital, si vous avez besoin d'un "Trieber".

*je dois paraitre naturelle et prendre la parle , allez je dois me lancer sinon il va finir par se poser des questions...*

Maxine lanca un regard vers Eleanor comme pour se donner du courage et pris la parole

-Oui nous avons été demandé toutes deux dans ce service ; un manque de personnel à cause des remue ménages de la nuit du reveillon parait il...
Je suis Mlle Connor, une nouvelle recrue du Belevue Hospital.

Edit du Gardien:

Jet de baratin de Maxine (50): 7(dé), réussite

Romane acquisea lorsqu'elle compris la proposition d'O0tto

-Je vous suis, nous en découvrirons plus là bas...

Romane se dirrigea vers la voiture et se retrourna vers Ryan

-vous venez ? lui dit-elle avant de rejoindre otto

Gardien

Deig
Une femme d'une quarantaine d'années et empestant la cigarette s'approche de toi, chargée de dossiers et l'ai revèche

-Vous désirez Mam'zelle?

Eleanor, Algernon et Maxine
Les présentations batent leur plein et Maxine semble réussir à se faire passer pour autre chose que ce qu'elle est... Soudain l'hystérique commence à crier de plus belle

-Ils sont venus!!! Ils reviendront!! HAHAHAHAHAHAAHAHAHHAHA Ils ne m'abandonneront pas à nouveau!!!

Romane, Ryan, Richard et Otto
(vroum vroum? vous arrivez à l'hopital quand vous le décidez)

Ryan suivit volontié, il n'avait pas de moyen de transport.

- Viele Danke, Herr Otto.

[Hrp: Bon, c'est Otto qui conduit, c'est lui qui décide quand est-ce qu'on arrive. ]

Algernon fit un sourire à Mademoiselle Connor et s'apprêta à lui souhaiter la bienvenue quand soudain un cri retentit.

- Ils sont venus!!! Ils reviendront!! HAHAHAHAHAHAAHAHAHHAHA Ils ne m'abandonneront pas à nouveau!!!

Algernon tourna la tête d'un mouvement brusque pour regarder à travers le hublot de la porte, il ne voyait que le couloir de l'aile Sud, et plus loin, la porte de la chambre 12, il ne semblait pas en sortir la moindre lumière.

son visage amicale s'effaca pour laisser place à un visage plus inquiet, il se tourna vers les deux infirmière et leur dis sèchement.

- Je vais avoir besoin d'aide, pourriez vous m'accompagner ?

sans attendre de réponse il poussa une des portes à double battant et d'un pas rapide traversa le couloir dans la direction de la porte d'ou provenait des cris d'une intensité effrayante.

Aussitôt arrivés devant l'hôpital, Otto oublie toutes les bonnes manières et se précipite à la réception.

"Anna Gratz, Bitte, wehr ist sie ?"

Aux côtés de l'impérieux allemand, Dickie se fit tout petit. Attendant qu'il ait fini d'invectiver la receptionniste, Richard glissa:

- Et regardez aussi à Llewellyn... C'est pour mon petit neveu... La police m'a dit qu'il se trouvait ici...

Fouillant ses poches, Richard chercha son paquet de cigarette. Vide. "Mince, se dit il... C'est vraiment le pompon... sacré cadeau Sam.. Merci...". Puis regardant la receptionniste, il se pencha vers elle:

- vous verriez une objection à ce que je vous emprunte une cigarette en attendant que vous m'indiquiez dans quel chambre se trouve mon neveu.. Llewellyn hein... 4 L et 2 E...

Faisant un grand sourire visible mais hypocrite, Richard attendit la réponse.

Gardien

Deig, Richard, Ryan, Romane et Otto
Vous vous retrouvez à nouveau... La quadragénaire enfumée qui parlait premièrement à Deig se retourne, voyant arriver quatre personnes qui ont l'air tout de même pressées. Elle lève un sourcile étonné, semblant penser que les familles des pacients sont tout aussi atteinds que les autres. Elle compluse ses dossiers, dont une planchette qui doit présenter les dernières arrivées et leurs chambres...

-Je suis pas une bosh moi... Mais j'ai bien une Anna Gratz. Aile Sud, porte 12... Mais je suis pas sure qu'elle soit en état d'être vue.

Elle chercha encore avant de se retourner vers Richard

-Nous avons bien votre neveu Monsieur Llewellyn. Vous pourrez le voir en chambre 8 de l'aile sud. Voulez-vous que quelqu'un vous guide jusque là, Monsieur?

Christopher
Le réceptionniste fait un non de la tête mais une petite femme de chambre toute excitée vient lui chuchoter quelques mots à l'oreille avant qu'il ne la congédit de façon exaspérée

-Non, ce monsieur a quitté l'hotel et je ne sais pas quand il va revenir... Mainetant Marie-Elisabeth, qui devrait être concierge et non femme de chambre, vient de me dire qu'il avait été vu, montant dans la voiture d'un officier allemand...

Il compulse de petites notes qui sont adressées aux clients... Il en dégote une qu'il lit

-Un peu plus tôt un policier le cherchait pour qu'il se rende à l'hopital. C'est tout ce que je sais...

Il regarda Christopher avec l'espoir d'un petit pourboire pour le remercier de ces informations...

Romane savait qu'Otto et Ricahrd allaient s'en aller voir leurs proches, c'est pourquoi elle se tourna vers ses deux autres compagnons

-Allons voir les autres blessés pendant qu'ils vont voir leurs proches...

Hubert jubilait, son supérieur et hôte avait reçu de la part de la police un étrange médaillon, qui aurait été retrouvé en possession d'une personnalité de la ville. De plus cette personne, se trouvait maintenant au service psychologie de l'Hopital du Comté de Cap Code.
Le professeur Adams (son hôte de Chicago), semblait excité et terriblement nerveux, il voulait absolument connaître l'origine de ce médaillon. C'est pour celà qu'il avait été dépéché à Cap Code.

Après quelques palabres, et un petit graissage de main, Hubert appris d'une infirmière, dont son accent français faisait beaucoup rire, les rumeurs d'un étrange événement et le nom du directeur du service psychologie, et où se trouvait ce dernier.
D'après l'aide soignante, la nuit du réveillon, les personnalités de la ville réunis pour l'occasion auraient été attaquées par des grenouilles géantes anthropophages, et les survivants très choqués se faisaient traiter dans le service de l'aile sud.
Cette histoire le passionait, voilà qu'il allait pouvoir se pencher sur un nouveau mystère, et cette fois ci les témoins, de part leur renommée, seraient digne de foi.

L'aile sud était condamnée (*voilà quelque chose d'intéressant*), il dut se faire passé pour un psychologue étranger -ce qui n'était pas entièrement faux-, pour y pénétrer. L'air de l'aile sud était lourd, les patients émétaient des bruits étranges. Plus le mystère s'épaississait plus l'excitation d'Hubert montait. Soudain au détour d'un couloir, il entendit de terribles hurlements venant d'une chambre. Il se précipita à l'intérieur où il vit 2 infirmières et un médecin.

-Je suis docteur ! Je peux vous aider ?

Gardien

Humbert, Eleanor, Algernon et Maxine
La chambre est capitonnée dans son ensemble. Le peu de lumière qui filtre provient d'une fenêtre haute munit de barreaux qui ont l'air particulièrement solides. En dessous de celle-ci se trouve la tête d'un lit sur lequel une femme est attachée par de solides sangles de cuir aux poignets et chevilles... On pourrait penser qu'elle était jolie mais ses cheveux sont ternes et trempés par la transpiration et son visage est déformé par la haine et la folie... Elle écume presque alors qu'elle se débat en se cabrant et en hurlant...

-Fous... FOUS!! Vous n'êtes que des fous!! HAHAHAHAHAHAHAH!!!!! Des insectes face à eux!!!!!!!!

Chacune des personnes présentes sent la chaie de poule naître sur sa peau alors qu'elle croise son regard. Un regard de damnée... Sur la porte un dossier médical est disponible au nom d'Anna Gratz, il stipule un cas d'hystérie, de schizophrénie probable et de délirium... Alors qu'elle crit de plus en plus des sanglots étouffés se font entendre depuis la chambre 8 et le dortoire de la chambre 6.

Romane, Ryan et Deig
L'infirmière vous regarde, fatiguée

-Les autres ils sont dans le dortoire de la chambre 6, même aile... Mais ne soyez pas brusques avec eux, certaines n'ont pas été encore identifiées...

Christopher sortit un billet de son portefeuille et une carte de visite.

- Si vous voyez M. Llewellyn dites-lui que M. Kraft désire le voir pour une affaire urgente, je vous laisse ma carte. Je repasserai ici ce soir.
Une dernière question : où se trouve cet hôpital ?

Ayant obtenu les renseignements désirés, Christopher tendit le billet et sa carte de visite au réceptionniste avant de ressortir de l'hôtel. Il se rendit à l'hôpital via un quelconque moyen de transport, mais il n'y entra pas immédiatement.

*Ca m'étonnerait qu'il me laisse entrer et déambuler à ma guise. D'autant que je n'ai eu qu'une vague description de l'homme et que je ne sais pas dans quel secteur il se trouve ...*

Christopher avait une autre raison de ne pas entrer dans l'hôpital, il devait y avoir des policiers. Or christopher avait son .38 dans la poche intérieur de sa veste, et bien qu'il avait un permis de port d'arme il ne voulait pas d'ennuis. Il repensa aux rumeurs entendues à l'hôtel et à ce que lui avait dit le réceptionniste, M. Llewellyn était lié aux événements de la nuit dernière. Il valait mieux donc s'informer plus en détail sur ces événements.
Christopher se mit en quête de trouver un journaliste, ce qui ne fut pas trop difficile, il semblait que cette ville comptait plus de journalistes que d'habitants ... Le journaliste venait de se faire expulser de l'hôpital, Christopher l'accosta en lui demanda de lui raconter ce qui c'était passé la veille, et ce qu'il y avait dans cet hôpital qui attirait l'intérêt du journaliste. (quitte à lui offrir un verre si le journaliste n'avait pas envie de discuter)

Ils entendirent la patiente de la chambre 12 hurler. Ce fut un choc de voir cette femme, quelque chose de malsain émanait d’elle, Eleanor n’aurait pu dire ce que c’était. Des frissons parcourait son corps, cette patiente lui faisait un peu peur.
L’arrivé d’un médecin la fit sortir de ses pensées. Elle regarda Maxine, elle était blême.
Elle essaya de garder son calme, après tout une infirmière ne devait pas faiblir.

« Il faudrait peut –être lui faire respirer du chloroforme, je ne vois pas d’autres moyens de la calmer. Sa crise est en train d’angoisser tout le monde… je vais voir ce qui se passe dans les autres chambres les patients ont l’air agités. »

Elle sortit, cela n’avait été qu’un prétexte pour sortir de cette chambre. Elle repensa au patient à l’accent bizarre,

*il a peut-être raison, le diable y est pour quelque chose*

Machinalement, elle fit le signe de la croix, puis se dirigea vers la chambre 6 d’où émanait des sanglots.

L'entrée d'Hubert n'ayant pas soulevé de protestation, il s'approcha un peu plus du lit de la jeune patiente. Le diagnostique écrit à son pied était des plus intéressant, elle présentait un certain nombre de troubles mentaux, qu'il avait déjà vu associés à des phénomènes mystérieux, dans des ouvrages de parapsychologie.
Soudain la patiente poussa de tels hurlements qu'il ne put s'empécher d'avoir la chaire de poule. En même temps son interêt grandit, il fit mentalement son diagnostique de parapsychologue : troubles mentaux dont schyzophrénie et délirium, transpiration surabondante, propos incohérents et vulgaires, tremblements et hurlement...

*Serait-ce un cas de possession ?* Ce voyage se révélait nettement plus excitant que ce qu'il s'y attendait.

Il revint à lui, il était psychologue et une patiente souffrait le martyr : il fallait l'aider ! Il s'adressa au médecin :

-Voulez vous que je la tienne pendant que vous la tranquilisait, l'éther me parait recommandable, ou vu l'avancement de son état je ne saurais trop conseiller la morphine...

Algernon entra dans la chambre, suivit des deux infirmieres, et une minute aprés, un medecin se presenta à la porte en lui proposant de l'aide. Algernon aquiesca de la tête.

- oui tenez lui la tête s'il vous plait ! , il regarde les sangles en cuir lui tenant poignet et chevilles, je penses que le reste ça ira.

Le medecin posa ses deux mains sur le front de la femme qui s'agitait sans donner l'impression de faiblir.

- oui nous allons essayer ça, je vais lui injecter 10 ml de Phénobarbital dans une veine du cou, nous noterons les améliorations par la suite.

d'un geste sûr, il sorti une seringue et une petite bouteille translucide d'un tiroir, piqua la seringue et en aspira le liquide miniscieusement.. il porta la seringue devant ses yeux pour en jauger la quantité, pressa un coup pour en faire sortir l'air et s'approcha du coup de la femme.

- c'est fait !

voyant une infirmiere sortir, il jetta un regard sur l'autre.

- Mademoiselle connor, j'ai entendu des gémissement d'enfants à côté, pourriez vous vous en occuper, il ne faudrais pas le laisser seul, nous sommes assez ici. dis t'il en jettant un oeil sur le medecin qui semble toujours concentré sur sa prise. les chambres suivantes sont les 10, 8 et 6 !

Peut-être aurait-il mieux valu qu'Anna disparaisse à tout jamais.

Otto s'en voulait d'avoir ces pensés, mais c'était comme si tout le travail accompli depuis l'incendie de Berlin avait été réduit à néant. Anna était dans un état pire que dans tous les états où elle avait été.

Otto s'en voulait de l'avoir amené ici pour ce réveillon.

Peut-être que trouver ce qui avait causé cela aiderait à calmer Anna. Otto serra les dents au fond de sa poche.

Otto caressa la tête de sa fiancée et retourna dans le couloir. Il chercha ses compagnons d'infortune du regard.

"Avez-vous trouvé les proches que vous cherchiez ?"

Romane était allée dans le couloir et juste à ce moment, elle aperçu Herr Otto qui sortait d'une des chambres ...

-Il n'y a personne pour moi ici, j'espère que tout vas bien pour votre fiancée... Mais en voyant le visage d'Otto, romane comprit qu'Otto était sous le choc, dans quel état avait-il retrouvé sa fiancé??

-Ryan est parti voir quelq'un, et je pense que je vais aller essayer de trouver quelq'un en état de parler de ce qui s'est passé...
Puis Romane se dirrigea vers l'endroit indiqué par l'infirmière, le fameux dortoir de la chambre 6 et y pénétra... [i]

Aux paroles de l'infirmière, Deig, interloquée, suivit les autres qui étaient de nouveau là, en se demandant s'il était possible que les personnes enlevées par les créatures soient encore vivantes. Elle erra dans les couloirs et se tint sur le pas de la porte d'une chambre où s'affairaient de nombreuses personnes.Elle y vit l'homme qui semblait pourtant si fort, durement éprouvé. Elle le regarda tristement et regarda celle qui devait être sa douce...
Puis elle vit Maxine qui semblait aller bien et qui visiblement passait pour une infirmière.La jeune femme soupira.

*Je n'ai pas imaginé que Sara pouvait se trouvait là,si seulement...*songea-t-elle en retournant dans le couloir.

Elle ne savait pas où chercher, elle resta plantée là à regarder les allées et venues.
Elle voulait appeler Sara, parler à Maxine et aux autres personnes qu'elle avait rencontrée suite à ce drame, dire quelques mots de réconfort au meneur d'homme...mais aucun son ne sortit de sa bouche. Elle tenta de se ressaisir,avança en jetant un oeil dans les chambres dont les portes étaient ouvertes, les gémissements, les cris de certains des patients, la rendait nerveuse... Elle avait peur de l'état dans lequel elle trouverait sa soeur et la vision de la jeune femme piquée pour l'appaiser la terrifiait.

Voyant Romane entrer dans la chambre 6, elle suivit espérant y trouver Sara.

Maxine se sentait perdu et impuissante dans cette chambre face à cette femme hystérique. Elle avait deja vecue des moments délicats dans son métier mais la, elle devait tt faire pour sembler ne pas être trop affolée pour ne pas être demasquer.
Lorsque le médecin lui demanda de s'occuper des chambres voisines, ce fut un soulagement. De tt facons elle ne pouvait pas en apprendre plus avec Anna à cet instant. Celle ci semblait parler des créatures comme si elle les connaissait et les... appréciait presque... et à ce moment meme elle ne parraissait pas vouloir aider des méprisables humains...

Maxine sortit donc, déconcertée et vit Deig rentrer dans la chambre 6. *que fait-elle ici? je suis si heureuse qu'elle aille bien"
Elle se dirigea donc dans cette chambre et entra

Ryan s'approcha du lit de Mélinda et pris connaissance des notes laisser par les médecins : il n'y appris pas grand chose de plus que l'évidence ; Mélinda était sous sédatif et en état de choc après un viol... Il tira une chaise et s'assit près d'elle pour essayer de lui parler de manière aussi douce que possible :

- Bonjour Mélinda, ça me fait plaisir de vous savoir en vie, j'ai bien cru ne jamais vous revoir...

Otto aperçu l'avocat dans la chambre n°8. Il s'approcha et vit à l'intérieur une personne plus jeune, prostrée.

-"Probablement son neveu", pensa Otto. L'homme de loi, qui devait pourtant, de par son métier, être rompu à la communication, même durant des situations difficiles, ne semblait pas savoir comment parler au disparu.

Otto avait besoin d'oublier les problèmes d'Anna et aider autrui lui semblait un bon moyen d'oublier ses propres tracas.

-"Vous avez besoin d'aide, Herr Llewellyn ? ", demanda Otto en se présentant dans l'embrasure de la porte.

-"Votre neveu semble avoir été traumatisé. Peut-être faut-il le laisser se reposer. Peut-être ferions-nous mieux d'enquêter que ce qui s'est réellement passé. Peut-être trouverons nous ainsi un moyen d'aider nos proches ?

-"Qu'en pensez-vous ?"