Rituel de passage 1

Vladimir était complètement concentré sur ce qu'il faisait, essayer de sortir de sa cage en donnant de violents coups sur ce qui pouvait servir de porte puis regardant les résultats et recommençant ses tentatives, qu'il en oublia qu'il ne connaissait personne.

-Oui, moi, j'ai déjà été dans des situations périlleuses... Lorsqu'on est en mission en Tchétchénie votre vie peu s'arrêter à tout les coins de rue... mais la seule fois ou j'ai été arrêté j'avais pu m'en sortir indemne ... enfin si on exclut les quelques blessures dues à mon évasion quelque peu hasardeuse.

Vladimir se tut un instant reprenant son souffle avant de reprendre ses actions contre sa cage et sa conversation.

-...Je n'ai jamais été enfermé comme ça : nu dans une cage aussi étroite.

*хорошая кровь но что - то, что меня берет... Возобновляет тебе Vladimir, ты о них, не знаешь умалчивает ты*

Il se tut cette fois et reprit de plus belle ses efforts contre cette maudite porte de cage qui le séparait de la liberté.

- Cette cage m'a l'air solide, je propose d'attendre pour le moment. Je dois avouer que malgré mon envie de faire la peau aux responsables, je suis curieux de savoir qui a monté ce coup et pourquoi.

La douleur à ses pieds était devenue insupportable, aussi Gabe décida de se calmer et d’arrêter de frapper contre les barreaux. Dans un sens les autres avait raison, on saurait bien assez tôt la raison de leur présence dans ces cages. De plus, il frappait depuis 10 min sur les barreaux de sa prison et rien n’avait bougé.

Gabe fit un effort, dans cette obscurité, il était difficile de discerner les formes bien que sa voisine était bien équipée en forme.

Citation :

-Le nouveau? Tu m'entends? Tu as qui à coté de toi? Un homme? Une femme?

-euh….j’crois que j’vois une femme, elle bouge pas, elle est encore dans les vapes.

Gabe s’attardait sur les courbes de la jeune femme…

*…plutôt mignonne d’ailleurs…*

Gabe était maintenant complètement calmé, la peur de l’inconnu persistait mais l’après coup de la panique avait laissé la place à une certaine euphorie. Son séjour à Marseille ne pouvait pas plus mal débuter. Dans quel but on l’avait emmené ici, pourquoi nu et dans une cage. Il n’était personne, il n’était rien, cela n’avait aucun sens.
Gabe commençait même à trouver la situation plutôt comique, ça n’arrive pas tous les jours de se retrouver à poil dans des cages à chien. Si ce n’était pas le gouvernement, alors ça devait être le résultat du fantasme pervers d’un vieux millionnaire de 60 ans…

En pensant à cette idée, Gabe commençait doucement à rigoler.

L'homme qui avait parlé peu avant avait un terrible accent russe. Tchétchénie ?... Un militaire dans la même situation que Keith ou un mercenaire ? Il valait mieux se méfier comme toujours. Mais si lui aussi était kidnappé, il pourrait s'avérer être un allié précieux.

- Euh...l'Ami ? Euh...Celui avec l'accent russe. Tu es militaire ? Moi aussi, je suis dans la Légion étrangère française.

Keith réfléchit encore à ce que pourrait apporter cet homme.

- C'est quoi ton travail dans l'armée ? Tes spécialités ?

Vladimir répondit à Keith mais s'interrompit au moment où il allait donner son grade et ses activités au sein de l'armée pour les donner en Russe, visiblement personne ne semblait connaitre le russe et jusque-là c'était tout benef pour lui.

-Je suis ... полковник Владимир Outchenko, главнокомандующий сил атаки. ... En activité principalement en Tchétchénie pour le moment.

*шлюха перекладины корпуса дерьма крепки*

Vladimir s'arrêta de donner des coups dans sa cage pour ne rien voir comme résultat. Il entreprit de réfléchir et recommença son inspection plus minutieuse de sa cage. Il passait ses mains le long de chaque barreau de chaque cm² etc afin de trouver quelque chose pour sortir de là.

- Ce qui me préoccupe le plus pour le moment c'est de sortir de là et en entier si possible. Connaître les responsables et leurs motivations c'est optionnel. Cela dit ... je me demande bien pourquoi il y a un loup avec nous, curieux otage ...
Pourtant le plus étrange c'est que nos enlèvements sont trop différents pour être le simple fait du hasard. Ce qui m'amène à penser que nous avons été "choisis", mais selon quel critère ? qu'avons-nous en commun ?

L'idée qu'il puisse y avoir un lien entre eux tous lui apparaissait comme absurde au premier abord, mais c'était la seule conclusion logique qu'il tirait de son enlèvement et du peu qu'il savait des enlèvements de ses compagnons d'infortune. Ces déductions rassuraient un peu Gégé, car pourquoi s'embêter à choisir des otages particuliers pour s'en débarrasser vulgairement ensuite. Mais c'était terrifiant dans le sens où le motif de leur enlèvement paraissaient encore plus flou désormais.

Keith réfléchit aux paroles des autres. Qui les avait enlevés ? Pour lui, il ne faisait aucun doute que le drôle de jeu de Ruadan continuait. Mais il valait mieux détendre ses co-détenus plutôt que leur expliquer la situation telle qu'il la voyait.

- Ah mon avis, on est dans une émission de "real TV" ! Je ne vois qu'une entreprise d'audio-visuel pour réunir des gens si différents. Et surtout avec autant de moyen...

Fermant les yeux un moment Kei reste la ecoutant ceux qui semblait c'est camarade d'infortune pour le moment.

- Eh bien, quelques soit la raison, et la personne je lui ferais regrette, cette mascarade a assez durée.

Jérome aveuglé mit sa main devant les yeux le temps de s'habituer à cette brusque clarté. Comme prévu leurs kidnappeurs se manifestaient, c'était l'occasion d'en apprendre plus sur leur sort.

*Pas trop tôt, je commençais vraiment à en avoir marre d'attendre*

S'étant accoutumé à la lumière Gégé pu enfin voir où il se trouvait. Il voyait aussi tous ses compagnons, il dénombrait dix cages sur un demi-cercle. Un homme et une femme étaient encore endormis, les autres étaient tous dans le même état de nudité que lui ; le loup, et c'était bien un loup, se trouvait dans la quatrième cage en partant de la gauche. Mais il n'eut pas le temps de détailler plus ceux-ci car un concert de cliquetis métalliques d'armes qu'on charge résonna dans l'entrepôt tout autour d'eux. C'était la première fois qu'il avait à faire face à des vraies armes, et il n'était pas particulièrement ravi que ce soit ce jour-ci à cette heure-ci. Gégé chercha l'origine du bruit pour apercevoir les supposés instigateurs de l'enlèvement mais la lumière des projecteurs les dissimulait d'un voile blanc.
Ne sachant trop quelle attitude adopter Jérome se contenta de se taire en attendant que les évènements se passent.

*Comme dirait ce vieux Jules : "Alea Jacta Est", advienne que pourra et que ce puisse n'être pas funeste.*

Une tension extrême avait gagné Jérome, comme lorsqu'il se retrouve dans une position à l'équilibre instable sur une paroi et où il risque de chuter mortellement à tout moment. Son sang chargé d'adrénaline gonflait toutes ses veines, ses tempes résonnaient. Il percevait la même tension conjuguée à plus ou moins de peur chez tous ses voisins dont les réactions étaient variables mais traduisaient toutes le même sentiment.


Jérome profita qu'il ne se passait rien encore dans le hangar pour réfléchir cinq secondes à ses compagnons captifs et au peu qu'il savait d'eux. A qui se fier ? de qui se méfier ? si un échappatoire se présentait qui serait capable d'agir ? et qui ne le serait pas ? Ces réflexions pourraient s'avérer utiles si l'occasion se présentait.

Son voisin de droite, qui n'avait pas révélé son nom, avait quelque chose d'inquiétant, Gégé ne savait pas à quoi s'en tenir avec lui. La femme s'appelant Erika avait dit : "Je crois que certains d'entre nous n'ont pas un passé entièrement blanc", ça pouvait tout dire ...
Vladimir avait une attitude très militaire conforme à l'idée qu'on pouvait se faire d'un militaire russe, il saurait se débrouiller mais pourrait-on compter sur lui ? Gégé ne pouvait en jurer.
Erika était elle aussi énigmatique mais son attitude était rassurante contrairement à celle de l'asiatique. En cas de coup dur elle saurait probablement se débrouiller.
A côté d'elle il y avait Louxoris, une scientifique tout ce qui a de plus honnête, mais serait-elle capable de réagir ? Peut-être car elle semblait avoir du caractère ...
Duke était un militaire français, très capable et calme, ça ne faisait aucun doute qu'on pouvait lui faire confiance.
A côté de lui, deux personnes encore dans les vaps, à moins qu'elles ne se réveillent jamais.
Et à l'autre bout du demi-cercle des cages : un type très nerveux et complètement terrifié. Il faudrait le surveiller au cas où il péterait un câble, il pourrait mettre involontairement sa vie et celles des autres en danger.
Et lui-même ? Jérome serait-il capable de réagir ? il n'en était même pas sûr. Ce qui l'incita à se calmer au maximum et à évacuer toutes ses craintes qui sont autant de chaînes qui empêchent d'agir. Mais dans un entrepôt, nu, enfermé dans une cage, à demi aveuglé par des projecteurs et braqué par des armes ce n'était pas facile de rester zen.

Durant un bref instant Vladimir fut aveuglé par la lumiere éblouissante des projecteurs.
Petit à petit ses yeux s'habituèrent à la lumière vive et il ne put que constater son état et celui de ses compagnons d'infortune. Ils étaient bien prisonniers dans des petites cages dans un entrepôt.

Un bruit multiple de chargement d'arme le tira de ses observations.

-И дерьмо

Vlad essaya de repérer au bruit d'où venaient les chargements des armes et essaya de dénombrer combien étaient les "adversaires" mais le nombre plus l'écho dû au hangar l'empêcha de discerner le nombre et leur position.

*On va se faire tirer comme des lapins c'est pas possible si seulement j'avais une arme...*

Kei se protégea un instant les yeux le temps que ceux-ci se réhabituent à la lumiere. Lorsqu'il entendit les armes il jeta un coup d'oeil autour de lui.

- Eh bien, il semblerait qu'ils se soient enfin décidés à sortir de l'ombre. Je ne crois pas qu'ils désirent notre mort, du moins pas de suite sinon ils nous auraient tués au lieu de nous mettre en cage.

Une lumière aveuglante suivie de plusieurs bruits métalliques….Quelque chose se préparait, quelque chose qui allait déterminer la suite de l’histoire.
La soudaine lumière empêchait tous les détenus de repérer la source des bruits. Ses yeux lui faisaient moins mal au fur et à mesure qu’ils s’habituaient au flash mais il ne pouvait pas encore voir dinstinctement. Un coup d’œil rapide de chaque coté…

*hmmm, vraiment mignonne….*

Gabe n’arrivait toujours pas à situer les bruits et la nervosité gagnait les autres détenus. Que pouvait signifier ces petits clic métalliques, à croire qu'il était le seul à ignorer leur provenance. Quoi qu'il en soit, autant révenir que guérir, ca ne plaisait pas à ses co-détenus alors ca ne lui plaisait pas.

-…HEY…laissez-moi sortir bande d’salaud…HEY…

Gabe malgré la douleur reprenait le martèlement de la cage avec ses pieds avec un peu de chance il parviendrait à s'échapper avant le grand final. Si les autres s’inquiétaient, c’est que les bruits n’avaient rien d’encourageant et que par conséquent, il lui fallait parvenir à partir.

*Si au moins j'avais mon couteau, le moindre petit objet pour me défendre ou pour ouvrir cette prison.*

-….HEY…vous êtes qui…. r’pondez….

- Je ne suis pas persuadée être la seule "valeur marchande" du groupe car...

La lumière soudaine éblouit Luxoris, la coupant au milieu de sa réponse à Erika. Puis le bruit très désagréable de trop nombreuses armes qui se chargent.

*Dans les films de SF de mon enfance, au moins, les armes ne font pas de bruit...*

Restant décidément recroquevillée de manière pudique, la jeune femme regarda droit devant elle, plissant les yeux à cause de la lumière trop vive, mais gardant une expression impassible.

*J'espère pour lui que ce "m'as-tu-vu" n'est pas en face, parce que si j'arrive à le voir, ce ne sera pas une cage qui m'arrêtera pour aller lui faire sentir ma façon de penser...*

Erika avait écouté avec attention tout ce qui s'était échangé entre ses nouveaux compagnons. Petit à petit elle avait dressé un portrait d'eux avec les maigres données qu'elle avait. Deux hommes d'action, un facilement paniqué, la scientifique qui savait garder son calme, un homme qui pouvait user de dérision mais qui gardait l'esprit vif et un dernier homme qui lui avait légèrement parut antipathique... Sans compter le loup qui la laissait assez dubitative. De tous ce devait être lui le plus dérouté...

*en tous cas nous ne pouvons qu'attendre, parce que je doute que nous aillons beaucoup d'atouts en main...*

La lumière s'alluma soudain, brûlant la rétine de la jeune femme qui se trouvait sur le dos. Son premier réflexe fut de se cacher les yeux avec son bras, le temps de s'accomoder avant de finalement cacher sa poitrine et sa "partie intime". Elle réalisa ensuite le ridicule de son geste, s'ils avaient à se défendre ou quoi que ce soit ce n'était pas une fierté ou une pudeur mal placée qui lui sauveraient la vie. Elle poussa un grand soupir avant de se hisser sur ses coudes pour enfin voir ses nouveaux compagnons. Les cliquetis des armes ne la firent pas redescendre, seule la chair de poule recouvrit entièrement son corps.

*Superbe mise à mort. Ca me fait penser aux chasses à l'homme des pires cauchemars...*

Elle vérifia une dernière fois ses compagnons. Tous entiers au moins. Ils ne les auraient pas mis en cage comme des animaux pour les tuer aussi facilement... Ils auraient pu le faire avant. Ils allaient certainement faire durer le plaisir. Elle se recoucha dans sa cage, regardant le loup s'acharner.

-Calme-toi... Parce que sur ce coup-là je sais pas si c'est pas toi qui a plus l'expérience que nous autres...

Elle mit un bras sous sa tête. Les autres n'avaient rien. Ils pouvaient donc courir. S'ils tiraient ce ne serait pas nouveau pour elle... Seules les circonstances changeaient et elle se demandait qui pouvait être derrière tout ça, assez résignée. Un milliardaire fou ou quelqu'un de commun qui faisait d'une pierre, dix coups?

Conteur

Vos yeux commencent à s'acoutumer à la lumière. En face de vous, vous pouvez apercevoir une petite troupe d'une quinzaine de personnes, armés d'armes blanches. Bizarrement chacun de vous y reconnaît au moins une personne, inutile de préciser qui...
Au milieu de ceux-ci un homme, le sourire aux lèvres alors qu'il jette un regard à ses troupes puis à vos cages, se tient légèrement en avant par rapport au reste du groupe. Il est habillé d'un pantalon de daim, torse nu avec un aigle tatoué sur tout le devant et de longs cheveux noirs et les traits moins fins que l'on ne pourrait le penser pour un amérindien... Il tient une lance à la main comme un roi tient son sceptre.

-Beau travail les enfants. Une si belle récolte en aussi peu de temps... Mais à en juger aux voix sortant de ces cages, tous ne sont pas encore conscients...

Il se tourna vers sa troupe.

-On éteint tout et on revient d'ici deux heures?

Certains membres se mirent à rigoler, d'autres avaient un sourire espiègles... Et certains levaient les yeux au ciel. L'homme à la lance après avoir partagé sa blague se retourna vers votre demi-cercle.

-Tant pis pour ceux qui dorment encore... Ou peut-être tant mieux au final. On va ouvrir vos cages, inutile de vous préciser que la fuite n'est pas une solution viable.

Deux hommes passèrent devant les cages, jetant devant chacune d'elles des vêtements ainsi qu'une paire de chaussures (Descriptions via MP)... Sauf devant celle du loup, bien sûr. Une fois cela fait les deux hommes disparurent avec leur chariot dans un des trop nombreux coins d'ombre du hangar... L'homme à la lance sortit une petite télécommande et appuya dessus...
Les cages s'ouvrirent... Toutes...


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Luxoris sortit de sa cage et se redressa complètement, lançant un regard assassin à Chicoutimi. Puis elle ramassa les vêtements qui se trouvaient à ses pieds, et haussa les sourcils en les détaillant.

*Un tailleur gris? Des tennis vert fluo? C'est horrible, quel goût ont donc ces gens?*

Malgré sa réticence visible, elle enfila ce qu'elle ne considérait plus comme des vêtements, puis se tint droite, immobile, foudroyant toujours son kidnappeur du regard sans ciller.

L'équipe des kidnappeurs se montrait enfin et parmi eux Justine bien évidemment ... Si Justine était là, les autres devaient être ceux qui avaient enlevé ses compagnons. Ils portaient tous des armes blanches, mais où étaient donc les armes à feu qu'il avait entendu être chargées peu avant ? Gégé comprit vite que le groupe devant lui n'était pas seul, et qu'il eut été suicidaire de les attaquer ou de tenter de fuir.
Jérome n'aima pas les termes employés par celui qui semblait être le chef : "belle récolte", ça n'annonçait rien de bon pour la suite des événements. Aux vues des armes du groupe Gégé avait l'impression d'être un animal qu'on allait s'apprêter à chasser, non décidément la suite de l'histoire ne s'annonçait pas joyeuse.
La porte de la cage s'ouvrit.

*Qu'est-ce que je fais ? sortir et voir ce qui se passe ou rester dans la cage ?*

L'évocation du sort des deux personnes qui ne s'étaient pas réveillées l'incita à sortir de la cage. C'était la seule chose à faire de toute manière.
Mais avant qu'il fut sortit, le loup s'était déjà jeté sur un des hommes, une réaction instinctive ... Gégé aurait bien fait pareil mais c'eut été une réaction dangereuse autant pour lui que pour ses compagnons, il s'en abstint donc. L'attaque du loup fut stoppée par une rafale préventive, qui confirmait au passage la présence d'autres ennemis.
Gardant un oeil sur le loup Gégé sortit de sa prison et s'étira de tout son long. Il ne put s'empêcher de jeter un regard vers Justine, malgré ce qu'elle lui avait fait il était toujours fasciné par elle, et il ne savait toujours pas pourquoi. Avant de faire quoi que ce soit il observa la réaction de ses compagnons, il craignait une action imbécile. Aussi il montra l'exemple en faisant comme Duke et Luxoris en s'habillant gentiment.

*Mais qu'est-ce que c'est que ces frusques ! Ils ont cambriolé un cirque ou quoi !*

Un costard queue de pie blanc avec le pantalon qui va avec et des tennis roses ...

*Je pensais qu'on pouvait avoir l'air difficilement plus ridicule qu'en tenue d’Adam et Eve, et bien je me trompais ...*

Il enfila le pantalon et mit les tennis, il hésita à mettre la veste, celle-ci pourrait le gêner dans ses mouvements. Finalement il se décida mais ne la ferma pas, comme ça il pourrait l'enlever rapidement si besoin était.