Nom: O'Ciaragain
Prénom: Deig
Sexe: Féminin
Âge: 30 ans
Profession: artiste peintre
Nationalité: irlandaise
Résidence: USA
Ecoles: Ecole de Beaux Arts, Paris
Diplomes: Master (Honors)
Description : jeune femme d’environ 1m65, 52 kg. Elle a des yeux verts, des cheveux châtains qu’elle porte courts, elle arbore toujours un petit air mutin. Son visage est criblé de tâches de rousseur qui accentuent son côté coquin. Elle a un flegme naturel, presque aristocratique, accentué par sa silhouette longiligne à la garçonne. Elle porte des jupes ou des robes taille basse et se risque assez souvent à porter des pantalons.
Famille / Amis : Rosemonde et Tom O’Ciaragain ses parents qui vivent toujours en Irlande. Nessa O’Ciaragain, sa tante âgée de 55 ans qui vit depuis cinq ans aux Usa.Ses deux meilleurs amis : Sarah Dupré et Térence Tramell.
HISTOIRE PERSONELLE
Deig est née en 1890 dans le comté de Linfield. Elle y vit une enfance heureuse mais seule. Ses parents Rosemonde O’Ciaragain, née Lloyd, femme au foyer, et Tom O’Ciaragain, médecin de campagne, sont des gens issus de la classe moyenne. Ils sont un couple assez froid, stricte et ce même à l’égard de leur unique fille. Ce sont des gens sans surprises, rongés par la routine et l’ennui.
Du coup, la petite Deig, enfant chétive et très souvent malade, s’est inventée un monde peuplé de personnages imaginaires qu’elle prend l’habitude de dessiner dans un petit carnet. Cela explique bien évidemment, qu’elle est finie par devenir peintre.
Devenue adolescente, la jeune fille montre des dispositions aux études et souhaite plus que tout rejoindre les beaux arts de Paris, prestigieuse école signe pour elle de liberté. Elle ne veut surtout pas finir comme sa mère, une femme soumise coincée dans ses habitudes. Ses parents sont difficiles à convaincre mais sa tante Nessa O’Ciaragain, une originale, paria de la famille, l’aide dans son entreprise si bien que Deig forte de ses vingt ans se retrouve lâchée en plein Paris où elle mène une existence d’épicurienne convaincue.
Elle bannit la routine de son quotidien, vit la bohème tant matériellement que sentimentalement.
Durant son séjour aux beaux-arts, elle rencontre une jeune fille Sarah Dupré qui devient sa meilleure amie, ainsi qu’une sorte de mécène : Térence Tramell, de 5 ans son aîné, jeune héritier new-yorkais, qui tombe amoureux de leurs travaux d’inspiration proche du mouvement surréaliste. Il leur propose donc de le rejoindre après leurs études à New York ce qu’elles font.
Voilà donc Deig, aux Usa, où elle ne bénéficie que d’un succès limité et n’expose que dans des petites galeries. Elle est cependant à l’abri du besoin car son mécène devenu son meilleur ami subvient à ses besoins et à ceux de Sarah. Il lui a d’ailleurs installé dans sa villa prés de central parc, un atelier aux dimensions raisonnables qui lui permet de réaliser ses œuvres mais aussi de donner quelques cours.
Deig vit donc en profitant de la vie sans se soucier du lendemain et des qu’en dira-t-on, elle ne vit que pour son art et pour tenter des nouvelles expériences.
C’est une jeune femme d'un optimisme forcené, libre et un peu féministe sur les bords, elle croit en effet que les femmes ont un rôle à jouer dans la société autre que celui de femmes dociles.
Ce qu’elle aime par-dessus tout, c’est croquer du chocolat noir dans central parc et faire des ricochets sur le lac, photographier des inconnus.
Ce qu’elle déteste le plus c’est faire deux fois la même chose et porter des chapeaux cloche.
Au jour d’aujourd’hui, Deig est une trentenaire célibataire, se préparant à exposer une série de peintures et photos présentées grâce à un mécanisme alambiqué qui les fera défiler, peut-être que la gloire l’attend suite à cette expo qu’elle présente avec son amie Sarah et grâce au fond de Tramell. En tous cas Térence fonde là-dessus de grands espoirs. De plus, elle vient de faire parler d’elle dans la revue de mode française « Art, goût et beauté », pour ses dessins qui ont été utilisé par un grand couturier qui présente actuellement sa collection de printemps.
La roue semble tourner, elle est sur le point d’être reconnue, encore que Deig trouve sa vie bienheureuse, insouciante et plutôt réussie.